Biographie
Dominique LEROY.
Pour le photographe nîmois, le monde est un merveilleux terrain de jeux et la vie une suite continue d’aventures. Résultat : des prix photographiques, des livres, des longs métrages et une nouvelle expo qui séduit les plus grandes galeries ainsi que les Rencontres photographiques d’Arles, souvenir d’un temps où il étudiait la photo à Arles avec Lucien Clergue
Une vie de photos, des milliers de clichés. Dominique Leroy a fait 25 fois le tour du monde
Le photographe prend son courage à deux mains et classe, trie, sélectionne. Il en sort des livres enrichis de sa dernière passion pour la Rouille. Dominique vend sur des galeries en ligne. Dominique Leroy est de ces artistes dont les oeuvres ne passent pas inaperçues, lui non plus d’ailleurs. Cet obsédé de la photo, n’a jamais dévié de sa passion et rajoute, une nouvelle passion : la peinture sur métal rouillé depuis quatre ans.
Mais commençons par le commencement. Dominique Leroy naît à Mont-de-Marsan (Landes) il y a une toute petit soixantaine d’années (66). Mais très vite la famille s’installe à Nîmes. Dominique a six ans et Nîmes devient sa patrie, son camp de base et ses racines. Depuis l’âge de sept ans, le garçon est passionné de photographie grâce à ses deux grand-parents, amateurs éclairés, et au Tintin d’Hergé qui lui donne envie de voyager.
Des désirs de carrière qui lui semblent très vite incompatibles avec les bancs de l’école qu’il quitte après deux tentatives malheureuses à un bac scientifique qu’il dit n’avoir aucune chance de décrocher. Ce qu’il veut c’est devenir exactement comme Tintin : un reporter qui bourlingue… mais n’écrit jamais ! Devant le refus obstiné de ses parents Dominique cède momentanément et s’inscrit à l’école de kinésithérapeute. Mais ce fils unique têtu n’a pas dit son dernier mot. Sabotage de cette orientation qu’il décide de quitter en claquant la porte à un mois du diplôme. Ce que fils veut… Dominique sera photographe.
Comme rien n’est jamais simple, le garçon a attrapé l’amour du sport automobile d’un père contagieux n’a pas manqué de lui transmettre. Tout s’éclaire Dominique Leroy décide de combiner ses deux passions et de devenir photographe de sport automobile. Un challenge de taille si l’on sait que la profession est un sérail où il est difficile de faire sa place. Lui, il s’en fiche.
Son père lui demande de réussir son CAP photo en six mois au lieu de deux ans et lui octroie un pécule mensuel pendant ces deux années, pour faire ses preuves. C’est parti ! Diplôme en poche, accompagné de ses parents, il écume les courses de côtes et autres rallyes nationaux. Il réussit à être publié mais ce n’est pas encore la consécration. Pour passer la vitesse supérieure, il se fabrique une fausse carte de presse, un sésame pour entrer sur les circuits de F1. Ça marche ! Il s’inscrit à un concours international de photographie à Antibes et remporte le 1er prix remis par Jacques Lafitte, alors pilote de F1 au sommet de son art. L’agence Sipa Presse le remarque et l’engage. Le rêve est réalisé.
Il vit comme une diva, toujours entre deux avions, champagne, fêtes, décalage horaire et course folle pour être le premier à caser « le cliché ». Sauf une fois, il raconte. « C’était un grand prix maudit, Imola en 1994. Un mort pendant les essais. Ayrton Senna ne veut pas prendre le départ puis se laisse convaincre. » Au huitième tour, c’est le drame. Après le départ, les photographes remontent le long de la piste et arrivent sur les lieux de l’accident qui vient d’arriver.
« On a tout de suite compris qu’il était mort. on a fait des photos et personne ne les a jamais publiées par respect pour ce grand pilote ». En 2008, J’étais fatigué et la Formule 1 changeait. Il était temps de penser à d’autres aventures, » se souvient-il.
L’idée le tente depuis 2004, il se jette à l’eau et ajoute une caméra à sa panoplie de preneur d’images. C’est le début d’un périple qui va le conduire encore une fois sur les cinq continents. Mais là, fini les bolides et les paillettes, Dominique Leroy rencontre le journaliste et écrivain français Dominique Lapierre et décide de tourner un long métrage sur la Cité de la joie, 25 ans après la sortie du best seller éponyme de Lapierre et Collins.
On le retrouve ensuite en Afrique à la rencontre des tribus les plus primitives de la planète. Puis il pousse jusqu’en Terre de Feu et va même trouver les derniers chamanes indiens d’Amérique du Nord et Amazonie. En France aussi il déniche un terrain d’exploration nouveau en tournant un long métrage sur les carnavals insolites, mettant au grand jour de drôles de tribus hexagonales. Dominique Leroy tourne avec son ami Bruno Bonizec et Jean Luc Azria écrit par Véronique Palomar/Camplan sur l’évolution de la F1 pour une TV et prépare un livre dont la sortie est prévue dans une paire d’année et dont le titre sera « Court-Circuit ». Plusieurs expos sont prévues à la sortie du livre .
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Une vie de photos, des milliers de clichés. Dominique Leroy a fait 25 fois le tour du monde
Le photographe prend son courage à deux mains et classe, trie, sélectionne. Il en sort des livres enrichis de sa dernière passion pour la Rouille. Dominique vend sur des galeries en ligne. Dominique Leroy est de ces artistes dont les oeuvres ne passent pas inaperçues, lui non plus d’ailleurs. Cet obsédé de la photo, n’a jamais dévié de sa passion et rajoute, une nouvelle passion : la peinture sur métal rouillé depuis quatre ans.
Mais commençons par le commencement. Dominique Leroy naît à Mont-de-Marsan (Landes) il y a une toute petit soixantaine d’années (66). Mais très vite la famille s’installe à Nîmes. Dominique a six ans et Nîmes devient sa patrie, son camp de base et ses racines. Depuis l’âge de sept ans, le garçon est passionné de photographie grâce à ses deux grand-parents, amateurs éclairés, et au Tintin d’Hergé qui lui donne envie de voyager.
Des désirs de carrière qui lui semblent très vite incompatibles avec les bancs de l’école qu’il quitte après deux tentatives malheureuses à un bac scientifique qu’il dit n’avoir aucune chance de décrocher. Ce qu’il veut c’est devenir exactement comme Tintin : un reporter qui bourlingue… mais n’écrit jamais ! Devant le refus obstiné de ses parents Dominique cède momentanément et s’inscrit à l’école de kinésithérapeute. Mais ce fils unique têtu n’a pas dit son dernier mot. Sabotage de cette orientation qu’il décide de quitter en claquant la porte à un mois du diplôme. Ce que fils veut… Dominique sera photographe.
Comme rien n’est jamais simple, le garçon a attrapé l’amour du sport automobile d’un père contagieux n’a pas manqué de lui transmettre. Tout s’éclaire Dominique Leroy décide de combiner ses deux passions et de devenir photographe de sport automobile. Un challenge de taille si l’on sait que la profession est un sérail où il est difficile de faire sa place. Lui, il s’en fiche.
Son père lui demande de réussir son CAP photo en six mois au lieu de deux ans et lui octroie un pécule mensuel pendant ces deux années, pour faire ses preuves. C’est parti ! Diplôme en poche, accompagné de ses parents, il écume les courses de côtes et autres rallyes nationaux. Il réussit à être publié mais ce n’est pas encore la consécration. Pour passer la vitesse supérieure, il se fabrique une fausse carte de presse, un sésame pour entrer sur les circuits de F1. Ça marche ! Il s’inscrit à un concours international de photographie à Antibes et remporte le 1er prix remis par Jacques Lafitte, alors pilote de F1 au sommet de son art. L’agence Sipa Presse le remarque et l’engage. Le rêve est réalisé.
Il vit comme une diva, toujours entre deux avions, champagne, fêtes, décalage horaire et course folle pour être le premier à caser « le cliché ». Sauf une fois, il raconte. « C’était un grand prix maudit, Imola en 1994. Un mort pendant les essais. Ayrton Senna ne veut pas prendre le départ puis se laisse convaincre. » Au huitième tour, c’est le drame. Après le départ, les photographes remontent le long de la piste et arrivent sur les lieux de l’accident qui vient d’arriver.
« On a tout de suite compris qu’il était mort. on a fait des photos et personne ne les a jamais publiées par respect pour ce grand pilote ». En 2008, J’étais fatigué et la Formule 1 changeait. Il était temps de penser à d’autres aventures, » se souvient-il.
L’idée le tente depuis 2004, il se jette à l’eau et ajoute une caméra à sa panoplie de preneur d’images. C’est le début d’un périple qui va le conduire encore une fois sur les cinq continents. Mais là, fini les bolides et les paillettes, Dominique Leroy rencontre le journaliste et écrivain français Dominique Lapierre et décide de tourner un long métrage sur la Cité de la joie, 25 ans après la sortie du best seller éponyme de Lapierre et Collins.
On le retrouve ensuite en Afrique à la rencontre des tribus les plus primitives de la planète. Puis il pousse jusqu’en Terre de Feu et va même trouver les derniers chamanes indiens d’Amérique du Nord et Amazonie. En France aussi il déniche un terrain d’exploration nouveau en tournant un long métrage sur les carnavals insolites, mettant au grand jour de drôles de tribus hexagonales. Dominique Leroy tourne avec son ami Bruno Bonizec et Jean Luc Azria écrit par Véronique Palomar/Camplan sur l’évolution de la F1 pour une TV et prépare un livre dont la sortie est prévue dans une paire d’année et dont le titre sera « Court-Circuit ». Plusieurs expos sont prévues à la sortie du livre .